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Knowledge, Attitude and Practice of Family Planning amongst Women in a High Density Low-Income Urban of Enugu, Nigeria


BK Onwuzurike
BSC Uzochukwu

Abstract



A total of 334 Nigerian, non-pregnant women, living in a high density, low-income urban area of Enugu, Nigeria, were interviewed on knowledge, attitude and practice of family planning. About 97.6% were found literate. Knowledge and approval of family planning was high, 81.7% and 86.2% respectively, but the practice of family planning was low, as only 20% of the women were on a family planning method. The commonest methods for both ever use and current use were safe period/Billings, condom, IUCD and injectables. The commonest source of family planning information was health workers, while the commonest single reason for non-practice of a method was rejection by the husband. It is concluded that despite their high level of education/literacy, with the attendant high knowledge and approval rate of family planning, the socio-cultural influence of men on their wives is a major stumbling block to the use of modern family planning in this part of Nigeria. Policy makers should, therefore, increase male involvement in family planning programs.

(Afr J Reprod Health 2001; 5[2]: 83-89)



RÉSUMÉ


Connaissance, attitude et pratique du planning familial chez les femmes du centre urbain d'Enugu de haute densité et d'une population des gens économiquement faibles. 334 femmes nigérianes qui n'étaient pas enceintes et qui vivaient dans un centre urbain économiquement faible ont été interviewées sur la connaissance, l'attitude et la pratique du planning familial. Il s'est trouvé qu à peu près 97,6% étaient lettrées. La connaissance et l'approbation du planning familial étaient élevées, 81,7% et 86,2% respectivement, mais la pratique du planning familial était faible,puisqu'il n'y avait que 20% des femmes qui pratiquaient le planning familial. Les méthodes des plus communes jamais utilisées où qu'elles utilisent à l'heure actuelle étaient la période sans danger/méthode Billings, les préservatifs, DIU et les injectables. Les membres du personnel de santé constituaient la source la plus importante du renseignement sur le planning familial alors que la raison la plus commune qui explique la non pratique d'une méthode quelconque était que le mari ne l'approuvait pas. L'étude conclut en affirmant que malgré leur haut niveau de scolarisation/alphabétisation, la haute connaissance et le taux d'approbation du planning familial, l'influence socio-culturelle des hommes sur leurs femmes demeure un obstacle majeur à l'utilisation du planning familial moderne dans cette région du Nigeria. Les décideurs doivent, en conséquence, redoubler le rôle que jouent les hommes dans les programmes de planning familial.

(Rev Afr Santé Reprod 2001; 5[2]: 83-89)





KEY WORDS: Family planning, socio-cultural factors, Enugu, Nigeria


Journal Identifiers


eISSN: 1118-4841