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Marxist aesthetics in Festus Iyayi’s "violence"


P Anawi

Abstract

The Nigerian Festus Iyayi’s novel "Violence" portrays a modern African society in a money economy wherein the possession of the capital is paramount in defining the individual as a member of the community. The characters in "Violence" come into two distinct categories. On the one hand, there are those who own the capital. On the other hand, there are those who do not possess the capital. As a keen observer of the environmental and social changes taking place in Africa since colonisation,
Festus Iyayi’s novel reflects the modern African society in its diverse forms: the urban society, morality, the problematic of development of newly independent African nations, and the attraction of towns and cities on country folks. What does urban life teach us about new social organisations and the relationships between the rich and the poor? This article aims at assessing the above-raised issue in the light of Marxist mode of text analysis in order to enlighten not only the aesthetic value of the novel, but also the sociological relevance of Festus Iyayi’s imaginative writing.
Key words: Social classes, capital, employment, joblessness, exploitation, poverty, money economy, aesthetics, Marxism.

La violence de roman de Festus l'Iyayi nigérien dépeint une société africaine moderne dans une économie d'argent où la possession du capital est primordiale en définissant l'individu en tant que membre de la communauté. Les caractères dans la violence héritent deux catégories distinctes. D'une part, il y a ceux qui possèdent le capital. D'une part, il y a ceux qui ne possèdent pas le capital. En tant qu'observateur vif des changements sociaux environnementaux et intervenant en Afrique depuis la colonisation, le roman de Festus Iyayi reflète la société africaine moderne sous ses formes diverses : la société urbaine, moralité, le problématique du développement des nations africaines nouvellement indépendantes, et l'attraction des villes et des villes sur des gens de pays. Que la vie urbaine nous enseigne-t-elle au sujet de nouveaux organismes sociaux et des rapports entre les riches et les pauvres ? Cet article vise à évaluer la question au-dessus-soulevée à la lumière du mode marxiste de l'analyse des textes afin d'éclairer non seulement la valeur esthétique du roman, mais également la pertinence sociologique de l'écriture imaginative de Festus Iyayi.
Mots clés : Classes sociales, capital, emploi, chômage, exploitation, pauvreté, économie d'argent, esthétique, marxisme.


Journal Identifiers


eISSN: 2413-354X
print ISSN: 1727-8651