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L’echographie sus-pubienne dans les anomalies du premier trimestre de la grossesse chez la femme a Lome a propos de 304 cas colliges au service de radiologie du chu-tokoin de Lome de Janvier 2005 a Decembre 2007
Abstract
Les métrorragies représentent l’une des anomalies les plus fréquemment rencontrées au cours du premier trimestre de la grossesse. Elles sont un signe d’alarme et posent au médecin traitant trois problèmes essentiels, celui de l’étiologie des saignements, celui de la vitalité de l’embryon enfin celui de la conduite thérapeutique.
Buts : Cette étude a pour objectifs d’identifier les causes visibles des anomalies du premier trimestre de la
grossesse à l’échographie et de répertorier les principales pathologies.
Méthodologie : Il s’est agi d’une étude rétrospective de 02 ans (de janvier 2005 à décembre 2007) concernant 364 gestantes présentant des anomalies au premier trimestre de grossesse connue, ayant
consulté et ayant été référées au service de radiologie pour une échographie pelvienne ou obstétricale.
Résultats : Les anomalies du premier trimestre de la grossesse ont motivé la réalisation de l’échographie dans 2,93% des cas. 71,15% des gestantes avaient un âge compris entre 20 ans et 30 ans. 32,42% des
patientes ont réalisé l’échographie pour métrorragies, 25% pour menace d’avortement, 23,35% pour douleurs pelviennes seules et 3,57% en association avec des métrorragies. La mort embryonnaire in utero
(17,58%), l’avortement incomplet avec la rétention des restes de débris ovulaires (15,39%), l’avortement complet (7,42%), la rétention d’ oeuf clair (5,22%), la grossesse extra utérine (3,02%) et la grossesse
môlaire (2,75%) ont constitué l’essentielle de la pathologie retrouvée. L’hématome décidual (0,55%) était rare. Les pathologies associées ont été les myomes et le kyste ovarien (4,67% dans chaque cas).
Conclusion : L’échographie, par les renseignements qu’elle fournit, sa rapidité d’exécution, son caractère non traumatique et répétitif, occupe une place irremplaçable dans l’arsenal diagnostique.
Buts : Cette étude a pour objectifs d’identifier les causes visibles des anomalies du premier trimestre de la
grossesse à l’échographie et de répertorier les principales pathologies.
Méthodologie : Il s’est agi d’une étude rétrospective de 02 ans (de janvier 2005 à décembre 2007) concernant 364 gestantes présentant des anomalies au premier trimestre de grossesse connue, ayant
consulté et ayant été référées au service de radiologie pour une échographie pelvienne ou obstétricale.
Résultats : Les anomalies du premier trimestre de la grossesse ont motivé la réalisation de l’échographie dans 2,93% des cas. 71,15% des gestantes avaient un âge compris entre 20 ans et 30 ans. 32,42% des
patientes ont réalisé l’échographie pour métrorragies, 25% pour menace d’avortement, 23,35% pour douleurs pelviennes seules et 3,57% en association avec des métrorragies. La mort embryonnaire in utero
(17,58%), l’avortement incomplet avec la rétention des restes de débris ovulaires (15,39%), l’avortement complet (7,42%), la rétention d’ oeuf clair (5,22%), la grossesse extra utérine (3,02%) et la grossesse
môlaire (2,75%) ont constitué l’essentielle de la pathologie retrouvée. L’hématome décidual (0,55%) était rare. Les pathologies associées ont été les myomes et le kyste ovarien (4,67% dans chaque cas).
Conclusion : L’échographie, par les renseignements qu’elle fournit, sa rapidité d’exécution, son caractère non traumatique et répétitif, occupe une place irremplaçable dans l’arsenal diagnostique.
