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Palmar and digital dermatoglyphic traits of Kenyan and Tanzanian subjects


PS Igbigbi
BC Msamati

Abstract

Dermatoglyphic traits, along with other morphological, molecular and biochemical markers have traditionally been used in biological anthropology to explore affinities and differences among human groups.

Methodology: We carried out a cross-sectional study of healthy able-bodied volunteers of indigenous Kenyan and Tanzanian subjects to establish their palmar and digital dermatoglyphic traits, by counting and classifying their ridge pattern configurations of arches, loops, whorls and ridges based on standard techniques.

Results: Ulnar loops were the most prevalent digital ridge patterns and arches were the least in our samples with significant sex differences exhibited in arches, ulnar loops and whorls (P < 0.05). Similarly, men had significantly higher TFRC than women in Kenyans (P < 0.001), while Tanzanians showed no sex difference (P < 0.5). Women, however, had higher PII than men in Kenyans but the reverse was true in Tanzanians. In both groups, men showed significantly higher mean a-b ridge counts than women (P < 0.001, Kenyans; < 0.01, Tanzanians), and women showed greater mean atd angles than men (P > 0.5). The TFRC, atd angle and a-b ridge count were significantly different between Kenyans and Tanzanians (P < 0.001).

Conclusion: This study documents probably for the first time the normal and comparative dermatoglyphic traits of two East African populations, indicating that Tanzanians are dermatoglyphically closer to Malawians than Kenyans.

Key words: Palmar dermatoglyphics, East Africans

Résumé

Les traits dermatoglyphiques, avec d'autres marqueurs morphologiques, biochimiques et moleculaires ont été utilisés traditionnellement dans l'anthropologie biologique afin d'étudier les affinités et les écarts parmi les groupes humains.

Méthodologie: Nous avons effectué une étude coupe transversale des sujets volontaires forts et en bonne santé d'origine de Kenya et la Tanzanie afin d'établir leurs traits dermatoglyphiques digitals et palmar dénombrement et la classification de leur tendance de configuration de la crête de voûtes, boucles, verticille et voûtes fondés sur les techniques standards.

Résultats: Boucles cubitus étaient les tendances crêtes digitales les plus fréquentes et les voûtes étaient les moindres dans nos échantillons avec un écart sexe important montré dans les voûtes, boucles cubitus et verticille (P <0,05), pareillement, les hommes avaient le TFRC remarquablement plus élevé plus que les femmes chez des Kenyans (P<0,001), tandis que les Tanzanians n'ont pas montré aucun écart en ce qui est du sexe (P <0,05). Toutefois, des femmes avaient P11 plus éléve que des hommes chez des Kenyans mais c'est le contraire chez les Tanzanians. Chez les deux groupes, des hommes avaient montré compte a - b crète moyenne remarquablement plus élevée plus que chez des femmes (P <0,001, Kenyans; <0,01, Tanzanians), et des femmes avaient montré angles atd moyen plus que chez des hommes (P > 0,5). Le TFRC, angle atd et compte a - b crête étaient remarquablement différents entre Kenyans et Tanzanians (P < 0,001).

Conclusion: Il est probable que pour le premier fois, cette étude montre en détail les traits dermatoglyphiques moyens et comparés des deux populations de l'Afrique orientale, indiquant que des Tanzanians sont dermatoglyphiquement plus proche des Malawians plus que des Kenyans.

West African Journal of Medicine Vol.24(1) 2005: 26-30

Journal Identifiers


eISSN: 0189-160X