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Sexual and reproductive health factors associated with child, early and forced marriage and partnerships among refugee youth in a humanitarian setting in Uganda: Mixed methods findings


Miranda G. Loutet
Carmen H. Logie
Moses Okumu
Isha Berry
Simon O. Lukone
Nelson Kisubi
Alyssa McAlpine
Simon Mwima
Peter Kyambadde

Abstract

Preventing early and forced marriage is a global priority, however, sexual and reproductive health (SRH) among youth remains understudied in humanitarian settings. This study examined child, early and forced marriage and partnership (CEFMP) among young refugees in Bidi Bidi refugee settlement, Uganda, and associations with SRH outcomes among young women. This mixed methods study involved a qualitative phase with young (16-24 years) sexual violence survivors (n=58), elders (n=8) and healthcare providers (n=10), followed by a quantitative phase among refugee youth (16-24 years; n=120) during which sociodemographic and SRH data were collected. We examined SRH outcome differences by CEFMP using Fisher’s exact test. Qualitative data showed that CEFMP was a significant problem facing refugee young women driven by stigma, gender norms and poverty. Among youth refugee survey participants, nearly one-third (31.7%) experienced CEFMP (57.9% women, 42.1% men). Among women in CEFMP compared to those who were not, a significantly higher proportion reported forced pregnancy (50.0% vs. 18.4%, p-value=0.018), forced abortion (45.4% vs. 7.0%, p-value=0.002), and missed school due to sexual violence (94.7% vs. 63.0%, p-value=0.016). This study illustrates the need for innovative community-engaged interventions to end CEFMP in humanitarian contexts in order to achieve sexual and reproductive health and rights for youth. (Afr J Reprod Health 2022; 26[12s]: 66-77).


La prévention des mariages précoces et forcés est une priorité globale, toutefois, la santé sexuelle et reproductive (SSR) parmi les jeunes restent sous-étudier dans les lieus humanitaires. Cette étude a examiné des mariages d’enfants, précoces et forcés (MEPF) et des partenariats parmi les jeunes refugiés au installation de refugiés Bidi Bidi, à Ouganda, et les associations avec les résultats SSR parmi les jeunes femmes. Cette étude de méthodes mélangés était compris d’une phase qualitative avec des jeunes (16-24 ans) survivantes de la violence sexuelle (n=58), les aînés (n=8) et les fournisseurs de soins de santé (n=10), suivit par une phase quantitative parmi les jeunes refugiés (16-24 ans; n=120) pendant lequel les données sociodémographiques et SSR ont été collectionnée. On a examiné les résultats SSR différents de MEPF utilisant le test exact de Fisher. Les données qualitatives ont montré que MEPF était un problème important pour les jeunes femmes refugiés, causer par le stigma, les normes de genre, et la pauvreté. Parmi les participants d’une questionnaire étant aussi des jeunes refugiés, presqu’un tiers (31.7%) ont eu l’expérience MEPF (57.9% femmes, 42.1% hommes). Parmi les femmes dans MEPF en comparaison avec celles qui n’étaient pas, une proportion notamment plus haute ont signalé la grossesse forcée (50.0% vs. 18.4%, valeur-p=0.018), avortement forcé (45.5% vs. 7.0%, valeur-p=0.002), et l’école manquée à cause de la violence sexuelle (94.7% vs. 63.0%, valeur-p=0.016). Cette étude démontre le besoin pour des interventions innovants qui engage la communauté pour mettre fin au MEPF dans les contextes humanitaires et pour pouvoir atteindre la santé et les droits sexuel et reproductifs pour les jeunes. (Afr J Reprod Health 2022; 26[12s]: 66-77).


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eISSN: 1118-4841