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Self-reported quality of life measures of patients with benign prostatic hyperplasia on indwelling urethral catheters<BR><BR>Mesures de la qualité de vie auto-administrée chez les patients avec hyperplasie prostatique bénigne avec sondes trans-urétrales à demeure


LI Okeke
OI Aisuodionoe-Shadrach

Abstract

Objective: To evaluate the self-reported quality of life (QoL) measures of patients with benign prostatic hyperplasia (BPH) who are managed temporarily with indwelling urethral catheters.

Patients and Methods : Between February and April 2005, 40 consecutive patients with BPH (mean age: 69.5 years) on temporary indwelling catheters were asked to complete an eleven-item questionnaire in order to measure their self-reported physical and mental health status.

Result: Eighty percent of the study population (n=32) did not feel more irritable than usual, 75% (n=30) had no feeling of worthlessness, 72.5% (n=29) had urethral pain which had little or no interference with their daily activities, 62.5% (n=25) still derived leisure from the things they used to enjoy, 60% (n=24) were much less interested in sex or had lost interest in sex completely, while 80% (n=32) felt that their quality of life was not impaired as a result of long-term catheterization.

Conclusion: Generally, one would expect that people who are subjected to long-term indwelling catheterization would report a poor QoL However, the majority of our patients did not have the feeling that their QoL was significantly hampered by their obvious disease burden which was probably due to the fact that urinary catheter drainage relieved their lower urinary tract symptoms.

Résumé

Objectif: Évaluer la qualité de vie auto-administrée (QoL) mesurée chez les patients avec hyperplasie prostatique bénigne (BPH) qui sont traités temporairement avec les sondes trans-urétrales à demeure.

Patients et méthodes: Entre février et avril 2005, 40 patients consécutifs avec BPH (âge moyen: 69.5 ans) avec sondes trans-urétrales à demeure temporaires ont rempli un questionnaire auto-administré de onze articles pour mesurer leur statut de santé physique et mentale.

Résultats: Quatre-vingts pourcent de la population étudiée (n=32) n'avaient pas senti plus d'irritations qu'habituellement, 75% (n=30) n'avaient aucun sentiment d'inutilité, 72.5% (n=29) avaient des douleurs urétrales qui avaient peu ou aucun impact sur leurs activités journalières, 62.5% (n=25) ont gardé le plaisir des choses qu'ils aimaient, 60% (n=24) se sont intéressés beaucoup moins au sexe ou avaient complètement perdu l'intérêt dans le sexe, alors que 80% (n=32) notent que leur qualité de vie n'a pas été affaiblie suite au cathétérisme à long terme.

Conclusion: Généralement, on s'attendrait que les gens qui sont soumis au cathétérisme trans-urétral à long terme rapporteraient un QoL pauvre. La majorité de nos patients n'avait pas la sensation que leur QoL s'était considérablement dégradée à cause de leur maladie et ceci est dû probablement au fait que la sonde urinaire a soulagé leurs symptômes du bas appareil urinaire.

African Journal of Urology Vol. 12(1) 2006: 15-23

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eISSN: 1110-5704